Overthinking leads to problems and negative thoughts that weren't even there in the first place
C’était y’a quelque mois déjà. Je me revois encore, qui comprenait pas. Avais-je fait quelque chose de mal? Tu avais dit ‘’Non, rien d’anormal’’. ‘’C’est à cause d’elle?’’ je t’ai demandé. ‘’No, I need to be alone’’, c’est c’que t’as répondu. Je le savais bien, j’étais pas écervelée. T’as repris ta vie d’avant, tu y étais attendu. L’appartement s’est retrouvé vide. Un 2 ½ maintenant trop grand, farfelu, n’est-ce pas? Un lit et des murs devenus insipides. Baby, s’il-vous-plaît, ne m’oublie pas. Puis un soir, tu es revenu, comme ça. Vers la fille à qui t’avais toujours trop plu. J’avais trop espéré, je t’ai ouvert les bras. ‘’J’ai encore des sentiments pour toi’’ ; ton coeur s’était abstenu.
Maintenant, j’penserai plus jamais à rien, sauf à combien je t’aime. J’veux croire à notre destin, au tiens, au mien. J’penserai plus jamais à rien, sauf à combien on s’aime.
Je vis avec la peur constante de te perdre, j’te prendrai jamais pour acquis, j’te le promets. Mon petit coeur va bientôt être à l’ordre, je vais pouvoir fermer les volets. Et tout va cicatriser pour de bon. Les doutes, les crises de larmes, y’en aura plus. On s’achètera peut-être une maison, qui sait, j’serai peut-être plus jamais décue. J’veux entendre ta voix pour le reste de mes jours, c’est mon son préféré, tu le sais.Ma tasse de café à côté d’la tienne, ta main autour. Notre petit bonheur, on le construira après.
Maintenant, j’penserai plus jamais à rien, sauf à combien je t’aime. J’veux croire à notre destin, au tiens, au mien. J’penserai plus jamais à rien, sauf à combien on s’aime. J'penserai plus jamais à rien, à part que maintenant, t’es le mien.